Imaginez le confinement raconté par les grands auteurs dans la littérature italienne?
Pendant ce temps de confinement, n’est-ce pas un beau challenge ?
Un anomyme sur le net l’a fait pour des auteurs français
Flaubert : raconte l’ennui d’une jeune femme confinée avec son mari.
Balzac : raconte l’histoire de la fabrication du canapé où son héros est assis.
Proust : Son héros tond pendant le confinement. L’odeur de l’herbe coupée lui remémore son passé.
Beckett : Deux hommes attendent la fin du confinement qui n’arrivera jamais.
Ionesco : Le confinement attend la fin de l’homme.
Zola : Raconte avec précision le quotidien d’un ouvrier d’Amazon contraint de travailler.
Maupassant : Son héros confiné a des hallucinations et devient fou.
Feydeau : Un mari, sa femme et l’amant de celle-ci sont confinés ensemble, des quiproquos en perspective.
Musso : Deux personnes que tout oppose sont confinés dans la même maison. Ils tombent amoureux.
Marguerite Duras : confinée. Se confiner. Je crois que ça va durer 14 jours. Ou peut-être plus. Promener mon chien. Absence de chien. L’attestation était pourtant prête sur la table.
Stephen King: un alcoolique repenti, confiné, est torturé par le fantôme de son frère jumeau mort à 8 ans qui le pousse à tuer sa femme obèse et fanatique religieuse.
Pascal : confiné, l’humain lance une appli de paris en ligne à propos de la date de fin du confinement ou de la date de fin du monde
Kafka : un homme confiné s’ennuit, regarde une mouche courir sur son plafond… À la fin, c’est la mouche qui le regarde, courir sur les murs…
Bukowski : se lève à midi et boit une bière au petit dej avant d’écrire le plus beau poème jamais écrit en se grattant les couilles.
Camus: le confinement ne fait qu’accentuer l’esprit étroit de l’homme et enferme ses questions dans des bocaux sans réponses
Lamartine : « Un seul cas de coronavirus et tout est dépeuplé. »
Vous devez tous avoir lu la lettre de Cristina Comencini adressée à ses « Chers cousins français » dans Libération du 12 Mars (à lire sur internet)et le court entretien sur France Inter le samedi 21 mars avec Patricia Martin.
Il y a d’autres émissions , bien sûr, où elle intervient sur France Culture, mais elles sont antérieures.
Il tuo messaggio mi ha fatto venire voglia di andare a vedere il lavoro di Cristina Comencini.Bellissimo – Grazie Teresa!
Ho visto « Libere » in un atto.
forse l’oggetto di una delle nostre serate di mercoledì, perchè no?